lundi 4 mars 2013

Le dire... où se la fermer?


Ma question existentielle du jour : devrais-je le dire ou à jamais me la fermer?

Comme le rendez-vous que j’avais de prévu ce matin a été annulé, je me suis retrouvée avec un moment libre imprévu, ce qui a amené mon cerveau à se questionner sur de drôles de choses. C’est toujours le matin que j’ai mes illuminations… c’est à se demander si je ne devrais pas rester au lit!

Pourquoi ce questionnement… ne le saura-t-on jamais? Reste que, ce matin, ça me semblait important de savoir si on devait le dire ou se taire… tel était la question dans mon très fond… et c’était profond!

Je suis certaine que vous aussi, à un moment donné, vous vous êtes retrouvé dans une situation où vous êtes demandé de telles questions. Dois-je le dire et si oui, comment le dire? Si j’en parle, quelles seront les conséquences? Si je ne le dis pas,  restera-t'on quand même ami? Est-ce que je rends service en le disant? Si c’était à moi que ça arrive, voudrais-je en être informée?

Eh bien, à y réfléchir, le raisonner, le décortiquer, l’analyser, j’en suis arrivée à ceci : ce qu'on ne sait pas ne nous fait pas mal!

Tant que personne ne te pointe le morceau d’épinard coincé entre les dents, la crotte sur le bord du nez, les chaussettes de couleurs différentes, le chandail à l’envers, ou même, la fermeture éclair de pantalon descendu… ça ne te dérange pas!

Donc… la réponse à ma question existentielle est : on devrait se fermer le clapet!
 
 
 

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