Ma
question existentielle du jour : devrais-je le dire ou à jamais me la
fermer?
Comme
le rendez-vous que j’avais de prévu ce matin a été annulé, je me suis retrouvée
avec un moment libre imprévu, ce qui a amené mon cerveau à se questionner sur de
drôles de choses. C’est toujours le matin que j’ai mes illuminations… c’est à
se demander si je ne devrais pas rester au lit!
Pourquoi
ce questionnement… ne le saura-t-on jamais? Reste que, ce matin, ça me semblait
important de savoir si on devait le dire ou se taire… tel était la question
dans mon très fond… et c’était profond!
Je
suis certaine que vous aussi, à un moment donné, vous vous êtes retrouvé dans
une situation où vous êtes demandé de telles questions. Dois-je le dire et si
oui, comment le dire? Si j’en parle, quelles seront les conséquences? Si je ne le
dis pas, restera-t'on quand même ami? Est-ce que je rends service en le disant? Si c’était
à moi que ça arrive, voudrais-je en être informée?
Eh
bien, à y réfléchir, le raisonner, le décortiquer, l’analyser, j’en suis
arrivée à ceci : ce qu'on ne sait pas ne nous fait pas mal!
Tant
que personne ne te pointe le morceau d’épinard coincé entre les dents, la crotte
sur le bord du nez, les chaussettes de couleurs différentes, le chandail à
l’envers, ou même, la fermeture éclair de pantalon descendu… ça ne te dérange
pas!
Donc…
la réponse à ma question existentielle est : on devrait se fermer le
clapet!
Got it!
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